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Cent mille milliards de poèmes
Le roi de la pampa retourne sa chemise
pour consommer un thé puis des petits gâteaux
sur la place un forain de feu se gargarise
on espère toujours être de vrais normaux
Et pourtant c'était lui le frère de feintise
on prépare la route aux pensers sépulcraux
un audacieux baron empoche toute accise
lorsque vient le pompier avec ses grandes eaux
Le brave a beau crier ah cré nom saperlotte
une langue suffit pour emplir sa cagnotte
le chemin vicinal se nourrit de crottin
Les rapports transalpins sont-ils biunivoques?
frère je t'absoudrai si tu m'emberlucoques
toute chose pourtant doit avoir une fin
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