|
Cent mille milliards de poèmes
Il se penche il voulait attraper sa valise
pour du fin fond du nez exciter les arceaux
le chauffeur indigène attendait dans la brise
et tout vient signifier la fin des haricots
Il déplore il déplore une telle mainmise
on prépare la route aux pensers sépulcraux
nous avions aussi froids que nus sur la banquise
que les parents féconds offrent aux purs berceaux
Du pôle à Rosario fait une belle trotte
le lâche peut arguer de sa mine pâlotte
lorsque Socrate mort passait pour un lutin
Enfin on vend de tout homards et salicoques
tu me stupéfies plus que tous les ventriloques
mais on n'aurait pas vu le métropolitain
|