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Cent mille milliards de poèmes
Le marbre pour l'acide est une friandise
pour la mettre à sécher aux cornes des taureaux
le Turc de ce temps-là pataugeait dans sa crise
on espère toujours être de vrais normaux
Il déplore il déplore une telle mainmise
qui clochard devenant jetait ses oripeaux
de la mort on vous greffe une orde bâtardise
elle effraie le Berry comme les Morvandiaux
Du pôle à Rosario fait une belle trotte
le lâche peut arguer de sa mine pâlotte
les croque-morts sont là pour se mettre au turbin
Ne fallait pas si loin agiter ses breloques
on transporte et le marbre et débris et défroques
le métromane à force incarne le devin
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