|
Cent mille milliards de poèmes
Le marbre pour l'acide est une friandise
pour déplaire au profane aussi bien qu'aux idiots
sur l'antique bahut il choisit sa cerise
on espère toujours être de vrais normaux
Le cheval Parthénon frissonnait sous la bise
du client londonien où s'ébattent les beaux
un frère même bas est la part indécise
la mite a grignoté tissu os et rideaux
Du pôle à Rosario fait une belle trotte
on sale le requin on fume à l'échalotte
le colonel s'éponge un blason dans la main
Enfin on vend de tout homards et salicoques
on s'excuse il n'y a ni baleines ni phoques
toute chose pourtant doit avoir une fin
|