Cent mille milliards de poèmes
Le cheval Parthénon s'énerve sur sa frise
snob un peu sur les bords des bords fondamentaux
sur l'antique bahut il choisit sa cerise
il chantait tout de même oui mais il chantait faux
Et pourtant c'était lui le frère de feintise
où venaient par milliers s'échouer les harenceaux
de la mort on vous greffe une orde bâtardise
la mite a grignoté tissu os et rideaux
Le brave a beau crier ah cré nom saperlotte
une langue suffit pour emplir sa cagnotte
même s'il prend son sel au celte c'est son bien
Ne fallait pas si loin agiter ses breloques
grignoter des bretzels distrait bien des colloques
toute chose pourtant doit avoir une fin
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