Cent mille milliards de poèmes
Le marbre pour l'acide est une friandise
pour consommer un thé puis des petits gâteaux
le cornédbîf en boîte empeste la remise
il ne trouve aussi sec qu'un sac de vieux fayots
Du voisin le Papou suçote l'apophyse
qui se plaît à flouer de pauvres provinciaux
nous avions aussi froids que nus sur la banquise
quand les grêlons fin mars mitraillent les bateaux
Du Gange au Malabar le lord anglais zozotte
on comptait les esprits acérés à la hotte
même s'il prend son sel au celte c'est son bien
Sa sculpture est illustre et dans le fond des coques
on mettait sans façon ses plus infectes loques
toute chose pourtant doit avoir une fin
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